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* - voili ¤ voila - *

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15 décembre 2007

that is the question

draws_008

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15 décembre 2007

pouf pouf

draws_014

15 décembre 2007

The way of life

                                                     T H E   E N D                                                      

draws_012

  O F  L O V E

14 décembre 2007

http://fr.youtube.com/watch?v=eHeR50NQctE petit


http://fr.youtube.com/watch?v=eHeR50NQctE


stacey_20kent petit coup de coeur musical. à écouter près du radiateur ( à défaut de cheminée) en cette saison hivernal. un peu de chaleur ...
8 septembre 2007

welcome back to paname city

paris_by_nightCa y est, le retour sur la capitale est consommé. Après plus d'un mois de vacances exilée au fin fond de la bretagne, retour dans le chaos parisien. Enfin, chaos est un bien grand mot. je l'aime bien dans le fond, et plus que dans le fond pour etre honnête, cette ville. Elle est régit par des codes et des règles qui lui sont bien spécifiques. flaner, déambuller, errer, sont tout à fait admis, contrairement à ce qu'en pense ces anti-citadins qui n'y décèlent que stress et rapidité. Le tout est de le faire sans incommoder qui  que ce soit.
Une seule règle d'or :

                          gardez votre droite, pas de freinage brusque en pleine ligne droite, sous peine de carambolage et d'insultes imminentes

me revoici donc à reprendre mes marques dans cet univer. à prendre mes marques dans un nouveau quartier qui n'a, il faut l'avouer, rien à voir avec l'ancien, ni même avec moi. me voici dans une vraie ambiance parisienne, j'envahie les beaux quartiers, les costards et les tailleurs de soies, les talons hauts et les foulards délicatement noués sur le côtés (de 7à77 ans, c'est pour dire). Bref, pas ma place mais me voici donc en immersion totale, à observer ces petites "bébêtes" dans leur microcosme ... on verra ce que ça donne ...

paris

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3 septembre 2007

... même pas peur ...

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Horace s'avança vers le tableau noir et écrivit à la craie:

              La vie est trop courte pour être petite
                                               Benjamin Disraeli

Quittant son corset de porviseur pour prendre sa voix chantant de professeur, il disséqua cette citation en évitant tout pensée rectiligne. Au milieu d'un silence attentif, Horace montra son désoût virulent pour les évènements que l'on croit réels et qui au final n'existent qu'à peine. En termes sensibles, presqu'aqurellés, il évoqua la difficulté de participer à sa propre vie, de posséder chaque minutes. Puis Horace s'arrêta avec colère sur la déveine d'être aimé de façon distraite, d'être frôlé par celui ou celle qui croit vivre avec nous quand il ne vit que prêt de nous

- Tous cela se récapitule en un mot épineux : le plaisir ! tonna-t-il. Pourquoi est il si difficile de vivre dans le plaisir ? Qu'est ce qui en nous résiste au miracle de la rencontre ? Quelle part de nous se dérobe dans les occasions ou notre vérité pourrait être enfin touchée ? Pourquoi fuit in les instants ou l'on pourrait connaître le bonheur complet de ne plus fuir ?

Liberté leva la main et prit plaisir à répondre :

- Moi je n'ai pas peur.
- De quoi ?
- D'être rencontrée ...

>>

Alexandre Jardin, Mademoiselle Liberté

coco

6 avril 2007

le vent m'emportera

73536059Toute la journée je tourne et reformule des phrases qui hantent ma tête.
J'entends un mot, je vois une image, une allusion me vient et voilà que des phrases s'écrivent et tapissent mon crâne. envie de m'exprimer, de coucher sur le papier ces mots qui dévoilent mon esprit. mais ce n'est jamais le bon moment.
je suis en marche, je suis entourée, je suis en cours, je suis pas disposée physiquement.

et lorsque je rentre at home sweet home, je suis distraite par mon quotidien. ces mots qui peuplaient mon esprit, ces phrases qui m'auréolaient toute la journée se sont évaporées. l'envie et là, l'inspiration se cache sans doute tout près, mais la jonction ne se fait pas.

Pourtant, ce soir, je me lance sans rien n'avoir à raconter de bien précis. je vais voir ou mes doigts me portent. s'ils me portent qqpart ...

    " D'un oeil observer le monde extérieur, de l'autre, regarder au fond de soi-même"
Modigliani

modigliani_londres

   En fin de compte, je crois que c'est ça mon but en écrivant. d'observer. non de comprendre,d'analyser ou de rationaliser ma réalité. Mais observer la jonction entre le monde extérieur et mon intimité.
je crois aux vertus catharsiques de l'écriture. et pourtant, pendant un long moment, je n'ai pu m'y résoudre. peur de ce que mon crayon dévoilerait. peur de ce que mes mots refoulaient. et puis la teinte s'est éclaircie en moi. et c'est accompagnée d'une envie irréfrénée de me défouler par écrit.
Mais ma pudeur me contraint à l'anonymat. et attitude ambigue du XXI°s, le blog est la. Je ne sais pourquoi j'y suis, puisque je n'ai laissé l'adresse a personne. une sorte de journal intime, suscpetible à chaque instant d'être ouvert par un inconnu. un sorte de journal intime que je ferais sans doute découvrir. quand j'assumerai plus cette écriture, quand je ne craindrais pas de me faire juger.
72797273
mais pour l'instant, je me complaits dans mon espace de liberté.
moi aussi j'ai ainsi ma fenêtre sur le monde. c'est pas beau la

technologie ?

2 avril 2007

les paradis disponibles

" Le bonheur c'est ...

D'arriver à ...aldebert

Désirer ce (ceux ?) qu'on a déjà ..."

Joli précepte de la philosophie aldeberienne. Quand pas toujours la ouach, une petite dose d'optimisme en chanson. 

27 mars 2007

autiste or not to be ...

    ...  ou la condition de l'autruche ...

Il me vient une question ... Pourquoi est ce si dur de parler quand on en a le plus besoin ? Est ce une généralité ou suis je la seule concernée ?
Quand une blessure s'ouvre, qu'une plaie se réveille. Quand c'est le coeur qui est touché, ce sont mes mots qui sont coulés... Je veux parler sur l'instant. Alors, arme en main, je compose le numéro de l'oreille qui je crois pourrait m'écouter. Et puis rien ne sort comme je le voudrais.
Mes paroles sont noyées dans les larmes que je contient bêtement. Ou alors je joue à la grande, rien ne me touche, reine des glaces. Et là, c'est un iceberg qui empéche mes mots de sortir. Je formule tout dans ma tête, mais le long cheminement jusqu'à ma bouche glace ces mots et leur fait perdre toute cohérence...
C'est alors que je retrouve ma cachette si confortable, la tête enfouie dans le sable. Me voici redevenu autruche.
Ce n'est qu'une fois la plaie cicatrisée, le coeur rabiboché que je retrouve ma verve, je me rebranche en mode communication, et qu'enfin, je retrouve la voix qui me faisait défaut.

Et pourtant, ce n'est pas à ce moment que j'en aurait eu besoin ...

            ...les mystères de la communication humaine ....

autruche

25 mars 2007

un mars et ça repart

papillon

on médite, on respire, on sort de sa chrysalide

&

on renaît

" Même pour le simple envol

d'un papillon

tout le ciel est necessaire "

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